Fictions, poésies, œuvres de circonstance
En 1721 les Lettres persanes inaugurent le temps des Lumières : la fiction apparaît alors comme le meilleur instrument de l’esprit critique. Par la suite Montesquieu lui reste fidèle, avec le galant Temple de Gnide (1725), mais aussi avec l’Histoire véritable et Arsace et Isménie, qu’il corrige mais ne publie pas. Il se plaît aussi à des jeux littéraires qui font le plaisir de la vie mondaine : poésies et chansons de circonstance, ou encore « recueil d’airs » satiriques.
Les œuvres imprimées du temps de Montesquieu apparaissent en gras.